lunes, 22 de febrero de 2021

Memoria democrática: el exilio republicano español en Francia. Un vecino de Utrera en los campos de concentración franceses.


     
  

 
En ocasiones, en los viajes se producen curiosas conexiones. En el viaje a Saint-Rémy de Provence de algunos alumnos y profesoras de nuestro Instituto, visitaron el
Monumento dedicado a los republicanos españoles y el Camino de los españoles. En este último encontramos un viejo cementerio judío, en dirección hacia un pantano. A partir de esta visita pensamos en conocer un poco más, y así ayudar a mantener vivo, este pequeño trozo de la memoria del exilio, de nuestra memoria democrática, de la vida de los refugiados españoles que huyendo de la dictadura se encontraron con los campos de concentración, los trabajos forzados, el totalitarismo del gobierno francés de Vichy o la barbarie del nazismo alemán.
    Pero el trabajo forzado sigue teniendo una persistente y triste actualidad también en nuestros días, y en muchos lugares del mundo (21 millones de víctimas en el mundo en 2012), a pesar de la legislación vigente : 
La Convention (n° 105) sur l’abolition du travail forcé (1957) indique une obligation spécifique pour les Etats de « ne jamais imposer de travail forcé comme moyen de coercition ou d’éducation politique, comme punition pour avoir exprimé des opinions politiques ou participé à des grèves, comme main-d’œuvre utilisée à des fins de développement économique, comme mesure de discipline au travail ou de discrimination raciale, sociale, nationale ou religieuse».

Activité 1

- Que représente ce monument à Saint-Rémy? Décrivez-le. Quels exilés étrangers commémore-t-il?

 - Citez certains types de travaux forcés ou d'esclavage existant de nos jours.

  1. LE CHEMIN DES ESPAGNOLS ET LE TRAVAIL FORCÉ DES RÉPUBLICAINS ESPAGNOLS.
   "D’une longueur de 1.796 mètres, la voie Chemin des Espagnols se situe à Saint-Rémy-de-Provence, dans le département Bouches-du-Rhône (région Provence-Alpes-Côte d'Azur). Ce chemin a été construit par le travail forcé des républicains espagnols de la Compagnie de Travailleurs Étrangers 148e de Saint Rémy de Provence.
      La prise de Barcelone par les Franquistes à la fin du mois de janvier 1939 provoque l'exode vers la France de plus de 400.000 espagnols et volontaires internationaux. Le gouvernement français de Daladier décide de les interner dans de camps de concentration établis à proximité de la frontière espagnole".

  «Estos que ves ahora desechos, maltrechos, furiosos, aplanados, sin afeitar, sin lavar, cochinos, sucios, cansados, mordiéndose, hechos un asco, destrozados, son, sin embargo, no lo olvides, hijo, no lo olvides nunca pase lo que pase, son lo mejor de España (…) Estos que ves, españoles rotos derrotados, hacinados, heridos, soñolientos, medio muertos, esperanzados todavía en escapar; son, no lo olvides, lo mejor del mundo. No es hermoso. Pero es lo mejor del mundo».
                                                                    Max Aub, Campo de Almendros.
                        Réfugiés espagnoles pendant leur transfert au camp de Barcarès (R. Capa)
 
Suite à la déclaration de guerre avec l'Allemagne et à la pénurie de main d’œuvre résultant de la mobilisation des français, des structures d'encadrement militarisées sont mises en place que rassemblent des républicains espagnols affectés à des tâches relevant de la Défense nationale. Plus tard, ces unités sont transformées en 220 Compagnies de travailleurs étrangers (CTE), d'organisation paramilitaire, constituées chacune de 250  hommes commandés par un officier de réserve français et un capitaine espagnol. Avec l'embauche extérieure et l'enrôlement militaire, les CTE étaient la troisième possibilité de sortir des camps d'internement. Certains exilés espagnols refusaient de participer à ces travaux: 
 
"Sólo daban cero cincuenta céntimos por día, cuatro o cinco paquetes de tabaco, cuatro o cinco sellos internacionales para escribir a la familia (...) Y es todo lo que daban. Dijimos que no; algunos se apuntaron voluntariamente, muchos como yo dijimos: "¡No! De acuerdo con salir a trabajar y prestar el servicio que sea a Francia, pero cobrando como un obrero francés".                                                                                     (Francisco Guzmán, exiliado republicano)

     En 1940, le maréchal Pétain signe un armistice avec les Allemands qui imposent de très lourdes conditions. La France doit participer à l'effort de guerre nazi. Pétain devient le chef de l'État français de la zone non occupée, et instaure un régime totalitaire. Pétain supprime la devise "Liberté, Égalité, Fraternité" et la remplace par "Travail, Famille, Patrie". Il rend les étrangers, les Juifs, les communistes et les franc-maçons responsables de la défaite. Après l’armistice et la démobilisation, la loi du 27 septembre 1940 remplace les CTE par des Groupements de travailleurs étrangers (GTE) qui ont pour  but de rassembler les étrangers ne pouvant regagner leur pays d'origine. L'objectif est de fournir de la main d’œuvre pour les travaux agricoles, forestiers et industriels. En 1943, ils rassemblaient 37.000 travailleurs étrangers, dont plus de 30.000 espagnols.
 Dans les GTE les travailleurs ne recevaient aucun salaire mais une prime au rendement et les proches une allocation, ils devenaient dépendants du Ministère de la Production Nationale.
"A partir de la guerra, entonces fue obligatorio, y nos resistimos (...), en el islote H, donde estaba yo, muchísimas barracas nos resistimos a ir en esas condiciones, pero nos cogieron, nos metieron en camiones y no llevaron a Perpignan" (Francisco Guzmán).

    L’exploitation des réfugiés étrangers par le système des camps de travail trouve sa source dans les lois des 12 avril 1939 et 27 septembre 1940.
 
La loi du 27 septembre 1940 prévoit – article 1er – que « les étrangers de sexe masculin âgés de plus de dix-huit ans et de moins de cinquante-cinq ans pourront, aussi longtemps que les circonstances l’exigeront, être rassemblés dans des groupements d’étrangers s’ils sont en surnombre dans l’économie nationale et si, ayant cherché refuge en France, ils se trouvent dans l’impossibilité de regagner leur pays d’origine ».

    Selon Jacky Tronel, "ces mesures, mises en place par le gouvernement Daladier sous la IIIe République finissante, renforcées par le Régime de Vichy, sont l’expression d’une politique de la main-d’œuvre à la fois xénophobe, anticommuniste et antisémite. La structure dans laquelle ils sont « enfermés » est une structure privative de liberté, un système d’astreinte à résidence et au travail forcé, duquel il est difficile d’échapper. On y est fiché, surveillé, le courrier est censuré. Les "évadés", quand ils sont repris, sont réaffectés dans un autre GTE ou bien encore sont requis par l’organisation Todt pour aller travailler sur le front de l’Atlantique. Le terme utilisé, « évadés », renvoie à celui de « prisonniers».

Activité 2:
- Définis les termes suivants: Xénophobe, antisémite et travail forcé.
 - Que recevaient les travailleurs étrangers en échange de leur travail?
Décret du 22 février 1941 sur les sanctions à appliquer dans les GTE (Groupements des Travailleurs Étrangers). 
Article 2 - Les sanctions à appliquer en cas d´indiscipline ou d´abandon de poste, seront : 
1- Envoi dans un groupe disciplinaire ;
2- Envoi dans un camp d´internement.
                                    Fait à Vichy, le 22 Février 1941
                                                        Philippe PETAIN
 
Après la guerre, le 2 novembre 1945 on produit la dissolution des GTE (Groupements de Travailleurs Étrangers)
    Dès la libération du territoire le Gouvernement, considérant que ce régime d´exception était contraire aux principes de la liberté et de la large hospitalité qui ont toujours été dans la tradition française, a eu le souci de replacer sous le régime de droit commun les étrangers qui avaient été ainsi incorporés dans les formations de travailleurs étrangers. Cette opération se poursuit activement.
    Toutefois, il convient de mettre fin d´une manière absolu au régime institué par l´acte dit loi du 27 Septembre 1940. La présente ordonnance réalise l'abrogation de cet acte, et de ses textes d´application. Elle fixe également la date de liquidation définitive des groupements de travailleurs étrangers.
                                        Le Gouvernement Provisoire de la République Française.

2. HISTORIA DE UN REPUBLICANO EXILIADO EN FRANCIA.
Francisco García Barrera (1908-1999).
         Entre estos republicanos exiliados, obligados al trabajo forzado para el esfuerzo de guerra alemán, y bajo el totalitarismo de Vichy, recordamos a un republicano y militante anarquista de nuestra tierra, Francisco García Barrera, sobre el que recientemente se presentó un libro en Utrera. Francisco García Barrera (1908-1999) nació en Puerto Serrano (Cádiz), aunque muy pronto se trasladó a Utrera (Sevilla), donde trabajó en un rancho del cortijo Las Arduas. No pudo asistir a la escuela, pero un maestro cortijero le enseñaba una vez por semana "las primeras letras y un poco de cuentas", además de "lo mal que se hacía la justicia en nuestra tierra". Miembro de la CNT desde los 18 años, participó en la defensa de Utrera tras el golpe militar de 1936. Pero Utrera cae pronto, el 26 de julio, bajo el mando de las tropas golpistas, y algunos utreranos y utreranas, huyendo de las represalias y fusilamientos, escapan del pueblo y se esconden por los campos, huyendo la mayoría hacia Málaga, donde acudían refugiados de las provincias suroccidentales. Tras la caída de Málaga, continuarían su retirada hacia Almería y otras zonas bajo el gobierno republicano. Otros fueron capturados y ejecutados por las tropas sublevadas.
      Francisco García Barrera huyó también a la zona republicana (hacia Ronda) y terminaría combatiendo como miliciano y teniente del ejército republicano en varios frentes de Andalucía y Cataluña. En 1939 cruza la frontera francesa junto a decenas de miles de republicanos para recalar en sucesivos campos de concentración (Prats de Molló, Barcarès, Argèles y Bram).  El recibimiento e ingreso de los refugiados en los campos de internamiento franceses produjo una gran decepción en los exiliados, aunque, a diferencia del gobierno francés, muchas organizaciones y ciudadanos franceses mostraron su solidaridad, advirtiendo de las consecuencias para Europa de la derrota de la democracia española frente al fascismo: "L'écrasement de la République espagnole pour le fascisme italo-allemand équivaudrait à une démission de la France pour la défense de la Justice et de la Liberté dans le monde" (Comité del Frente Popular, 1934-1939).
"Dès la défaite reconnue, le 1er février 1939, de la République espagnole le chef du Gouvernement souhaite un engagement de l'Angleterre et de la France pour protéger les vaincus, demande sans réponse. L'exode qui s'ensuivit dirige dans les Pyrénées-Orientales environ 400.000 militaires et civiles, hommes, femmes, enfants et vieillards. La France dépassée par le flux, bien qu'elle se fut engagée à accueillir les soldats désarmés, rassemble les réfugiés sur la plage déserte d'Argelés sous la surveillance de tirailleurs sénégalais. Les " indésirables " sont ensuite conduits dans les camps de concentration français, créés à leur attention." (Fuente: AJPN).
  Actividad 3: 
- ¿En qué campos de internamiento franceses fueron obligados a concentrarse los refugiados españoles que huían de la dictadura franquista? Visita la página de algunos de esos campos y señala las condiciones de vida en las que vivían.
 - En la actualidad, en nuestro país,  los CIES (Centros de Internamiento de Extranjeros) son también centros de aislamiento donde se recluyen a los emigrantes africanos que llegan a nuestras costas, y donde son preparados en muchas ocasiones para su repatriación forzada. Segun Ubaldo Martínez Veiga, este internamiento administrativo apareció en Francia en 1914 durante la guerra de Argelia, y de ahí se han ido difundiendo a distintos países europeos como  un sistema de aislar y castigar administrativamente a los extranjeros. Lee el artículo de Ubaldo Martínez y/o mira el vídeo que tienes a continuación y comenta alguno de los testimonios que en él se recogen.
 


    Gracias a una familia francesa y un contrato de trabajo, Francisco logra salir de los campos. Muchos españoles comenzaron a ser repatriados, pero otros permanecieron en Francia por temor a las represalias. Con la ocupación alemana de Francia, los refugiados españoles se convirtieron en mano de obra demandada tanto por los franceses de Vichy como por los alemanes. El 16 de febrero de 1943, el gobierno francés de Vichy instituye el STO (Servicio de Trabajo Obligatorio), recurriendo a mano de obra de los GTE, constituidos en su mayoría por refugiados españoles.

    Francisco es alistado para trabajar en la organización alemana TODT, dedicada a las obras de defensa en la costa francesa atlántica. Durante la guerra, en esta organización se empleó a un número considerable de trabajadores extranjeros (1.400.000 en 1944), esencialmente mediante el trabajo forzado. No obstante, Francisco huye con un amigo a la comarca de Dun, donde hay un maquis, al que se incorpora mientras trabaja cortando leña. Otros testimonios orales confirman cómo "el trabajo obligatorio impuesto por los alemanes contribuyó a engrosar las filas de los maquis en los Bajos Pirienso. La organización guerrillera se formó de hecho con aquellos refugiados que no querían ir a trabajar a Alemania. Con el transcurso de los meses, estos grupos fueron estrechando relaciones con la Resistencia francesa y los exiliados españoles llegaron a representar una importante presencia en su seno" (2001:656). Muchos grupos guerrilleros tuvieron también su origen en los GTE existentes, que permitía cierta autonomía y movilidad, sin romper la conexión con el centro laboral del que generalmente dependían (el bosque, la mina o las obras públicas); ejerciendo en ocasiones, como Francisco, de leñador por el día y guerrillero por la noche.  Más tarde, con la derrota de Alemania, Francisco pudo reunirse con su nueva familia francesa y permanecer en paz, aunque sin abandonar su lucha y militancia anarquista.

Otros republicanos españoles tuvieron distinta suerte:

 1/4 des Espagnols réfugiés, ceux qui ne sont pas rentrés en Espagne avant 1940 et qui restent fidèles à leurs convictions politiques se voient livrés par les autorités de Vichy à la Gestapo. Ils seront déportés à Mauthausen (champ d'extermination nazi). Certains ont su entrer dans la Légion étrangère où ils rejoignent les Forces Françaises Libres en 1940 pour former la 9e compagnie. Beaucoup d'autres se joindront à la Résistance active". (Fuente: AJPN) 

Más de 1.500 andaluces fueron apresados en los campos de concentración nazis durante los años de la II Guerra Mundial. Un millar dejaron allí sus vidas. El documental Memoria de las cenizas. Andaluces en los campos nazis, recupera y honra la memoria de los asesinados en esos campos de exterminio. 

 
 

Activité 4:
- Quelles étaient les motivations des espagnoles pour se battre aux côtés de la France lors de la II Guerre Mondiale?
- Quelles étaient leurs résistances aux restrictions gouvernementales ou aux conditions de vie des camps?

3. EL TRABAJO FORZADO DE LOS REPUBLICANOS BAJO LA DICTADURA DE FRANCO. 

            También en la España franquista el gobierno utilizó a los republicanos vencidos como mano de obra "esclava" para la construcción de algunas infraestructuras. Así, el Servicio de Colonias Penitenciarias Militarizadas, fue creado en Septiembre de 1939, con el fin de utilizar a los reclusos en obras de utilidad nacional. Uno de sus mayores proyectos, fue la obra hidráulica del Canal del Bajo Guadalquivir, conocido popularmente como Canal de los Presos. Entre 1940 y 1962, gracias al trabajo de los prisioneros de guerra y de represaliados políticos, numerosos terratenientes sevillanos transformaron sus latifundios de secano en tierras de regadío y se construyeron varios poblados de colonización.

  Los reclusos confinados en los distintos campamentos del Bajo Guadalquivir, procedían de las más diversas regiones de España, aunque un 61% eran andaluces. Los presos vivían una existencia desarraigada, lejos de sus habituales lugares de residencia y en condiciones infrahumanas. 
Los presos construyeron el tramo que comprende desde La Rinconada, hasta Dos Hermanas. El trabajo de los presos finalizó en la intersección con el canal del Salado, que tiene su origen en l
a presa “Torre del Águila” (también construida parcialmente por los presos políticos) en el término municipal de Utrera y junto a la localidad de El Palmar de Troya (pueblo creado por los familiares de los presos). No fue la única obra que se realizó por presos políticos en Andalucía, pero sí la más significativa, al menos en las comarcas occidentales.
En 2001, se pudo ver en nuestro Instituto, entre el 19 y el 23 de enero, una exposición sobre El canal de los presos (1940-1962), que constaba de 14 paneles explicativos, un audiovisual de 30 minutos, así como la conferencia que pronunciaron el historiador J. L. Gutiérrez Molina y el antropólogo Ángel del Río en torno a la construcción del Canal.

 Activité 5:
- Connais-tu les origines du barrage de la « Torre del águila » (Tour de l'aigle) ou de la localité de El Palmar de Troya ( La Paume de Troie) ?
- Pose la question aux personnes âgées de ta famille.

Activité finale : Expression écrite.
Classe divisée en 2 groupes, vous lirez vos lettres par deux (le petit-fils et la grand-mère) devant la classe:
Groupe 1 (petits-fils) : Vous vivez dans un camp de concentration et participez quotidiennement aux travaux forcés. Vous écrivez une lettre à votre grand-mère qui a dû rester en Espagne pour lui raconter les conditions dans lesquelles vous vivez. (120 mots).
Groupe 2 (grands-mères): Vous êtes la grand-mère de ce garçon exilé. Suite à sa lettre vous lui répondez et lui racontez ce qui se passe en Espagne sous Franco. (120 mots).
Para saber más:
J. Rubio, La emigración de la guerra civil 1936-1939, Madrid, Ed. San Martín, 1977.
G. Dreyfus-Armand, El exilio de los republicanos españoles en Francia, Barcelona, Crítica, 2000.
G. Dreyfus-Armand et E. Ternime, Les camps sur la plage, Autrement, 1995.
Encarna Nicolás y Carmen González, "Españoles en los Bajos Pirineos", en Anales de Historia Contemporánea, 17 (2001), pp. 639-660.
Grégoire Georges-Picot, L'innocence et la ruse. Des étrangers dans la Résistance en Provence, 1940-1944, Ed. Tiresias, 2000.
Max Aub, Campo francés, Alfaguara, 1979.
Francisco García Barrera, Memorias de un libertario andaluz en la guerra civil española. Sevilla, Aconcagua, 2014
J. L. Gutiérrez Molina y otros, El Canal de los Presos. Trabajos forzados: de la represión política a la explotación económica, Barcelona, Crítica, 2004.
F. Torres, Los esclavos de Franco, Madrid, Oberón, 2000.




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