En ocasiones, en los viajes se producen curiosas conexiones. En el viaje a Saint-Rémy de Provence de algunos alumnos y profesoras de nuestro Instituto, visitaron el Monumento dedicado a los republicanos españoles y el Camino de los españoles. En este último encontramos un viejo cementerio judío, en dirección hacia un pantano. A partir de esta visita pensamos en conocer un poco más, y así ayudar a mantener vivo, este pequeño trozo de la memoria del exilio, de nuestra memoria democrática, de la vida de los refugiados españoles que huyendo de la dictadura se encontraron con los campos de concentración, los trabajos forzados, el totalitarismo del gobierno francés de Vichy o la barbarie del nazismo alemán.
Pero el trabajo
forzado sigue teniendo una persistente y triste actualidad también
en nuestros días, y en muchos lugares del mundo (21 millones de
víctimas en el mundo en 2012), a pesar de la legislación vigente :
La
Convention (n° 105) sur l’abolition du travail forcé (1957)
indique
une obligation spécifique pour les Etats de « ne jamais
imposer de travail forcé comme moyen de coercition ou d’éducation
politique, comme punition pour avoir exprimé des opinions politiques
ou participé à des grèves, comme main-d’œuvre utilisée à des
fins de développement économique, comme mesure de discipline au
travail ou de discrimination raciale, sociale, nationale ou
religieuse».
Activité 1:
- Que représente ce monument à Saint-Rémy? Décrivez-le. Quels exilés étrangers commémore-t-il?
- Citez certains types de travaux forcés ou d'esclavage existant de nos jours.
- LE CHEMIN DES ESPAGNOLS ET LE TRAVAIL FORCÉ DES RÉPUBLICAINS ESPAGNOLS.
"D’une
longueur de 1.796 mètres, la voie Chemin
des Espagnols
se situe à Saint-Rémy-de-Provence, dans le département
Bouches-du-Rhône (région Provence-Alpes-Côte d'Azur). Ce chemin a
été construit par le travail forcé des républicains espagnols de
la Compagnie de Travailleurs Étrangers 148e de Saint Rémy de
Provence.
La
prise de Barcelone par les Franquistes à la fin du mois de janvier
1939 provoque l'exode vers la France de plus de 400.000 espagnols et
volontaires internationaux. Le gouvernement français de Daladier
décide de les interner dans de camps de concentration établis à
proximité de la frontière espagnole".
«Estos que ves ahora desechos, maltrechos, furiosos, aplanados, sin afeitar, sin lavar, cochinos, sucios, cansados, mordiéndose, hechos un asco, destrozados, son, sin embargo, no lo olvides, hijo, no lo olvides nunca pase lo que pase, son lo mejor de España (…) Estos que ves, españoles rotos derrotados, hacinados, heridos, soñolientos, medio muertos, esperanzados todavía en escapar; son, no lo olvides, lo mejor del mundo. No es hermoso. Pero es lo mejor del mundo».Max Aub, Campo de Almendros.
Suite à la
déclaration de guerre avec l'Allemagne et à la pénurie de main
d’œuvre résultant de la mobilisation des français, des
structures d'encadrement militarisées sont mises en place que
rassemblent des républicains espagnols affectés à des tâches
relevant de la Défense nationale. Plus
tard, ces unités sont transformées en 220 Compagnies de
travailleurs étrangers (CTE), d'organisation paramilitaire,
constituées chacune de 250 hommes commandés par un officier
de réserve français et un capitaine espagnol. Avec l'embauche
extérieure et l'enrôlement militaire, les CTE étaient la troisième
possibilité de sortir des camps d'internement. Certains exilés
espagnols refusaient de participer à ces travaux:
"Sólo
daban cero cincuenta céntimos por día, cuatro o cinco paquetes de
tabaco, cuatro o cinco sellos internacionales para escribir a la
familia (...) Y es todo lo que daban. Dijimos que no; algunos se
apuntaron voluntariamente, muchos como yo dijimos: "¡No! De
acuerdo con salir a trabajar y prestar el servicio que sea a Francia,
pero cobrando como un obrero francés". (Francisco Guzmán,
exiliado republicano)
En
1940, le maréchal Pétain signe un armistice avec les Allemands qui
imposent de très lourdes conditions. La France doit participer à
l'effort de guerre nazi. Pétain devient le chef de l'État français
de la zone non occupée, et instaure un régime totalitaire. Pétain
supprime la devise "Liberté, Égalité, Fraternité" et la
remplace par "Travail, Famille, Patrie". Il rend les
étrangers, les Juifs, les communistes et les franc-maçons
responsables de la défaite. Après l’armistice et la
démobilisation, la loi du 27 septembre 1940 remplace les CTE par des
Groupements de travailleurs étrangers (GTE) qui ont pour but
de rassembler les étrangers ne pouvant regagner leur pays d'origine.
L'objectif est de fournir de la main d’œuvre pour les travaux
agricoles, forestiers et industriels. En 1943, ils rassemblaient
37.000 travailleurs étrangers, dont plus de 30.000 espagnols.
Dans
les GTE les travailleurs ne recevaient aucun salaire mais une prime
au rendement et les proches une allocation, ils devenaient dépendants
du Ministère de la Production Nationale.
"A partir de la guerra, entonces fue obligatorio, y nos resistimos (...), en el islote H, donde estaba yo, muchísimas barracas nos resistimos a ir en esas condiciones, pero nos cogieron, nos metieron en camiones y no llevaron a Perpignan" (Francisco Guzmán).
L’exploitation
des réfugiés étrangers par le système des camps de travail
trouve sa source dans les lois des 12 avril 1939 et 27 septembre
1940.
La
loi du 27 septembre 1940 prévoit – article 1er – que « les
étrangers de sexe masculin âgés de plus de dix-huit ans et de
moins de cinquante-cinq ans pourront, aussi longtemps que les
circonstances l’exigeront, être rassemblés dans des groupements
d’étrangers s’ils sont en surnombre dans l’économie nationale
et si, ayant cherché refuge en France, ils se trouvent dans
l’impossibilité de regagner leur pays d’origine ».
Selon
Jacky
Tronel,
"ces
mesures, mises en place par le gouvernement Daladier sous la IIIe
République finissante, renforcées par le Régime de Vichy, sont
l’expression d’une politique de la main-d’œuvre à la fois
xénophobe,
anticommuniste et antisémite.
La structure dans laquelle ils sont « enfermés » est une structure
privative de liberté, un système d’astreinte à résidence et au
travail
forcé,
duquel il est difficile d’échapper. On y est fiché, surveillé,
le courrier est censuré. Les "évadés", quand ils sont
repris, sont réaffectés dans un autre GTE ou bien encore sont
requis par l’organisation Todt pour aller travailler sur le front
de l’Atlantique. Le terme utilisé, « évadés », renvoie à
celui de « prisonniers».
Activité 2:- Définis les termes suivants: Xénophobe, antisémite et travail forcé.- Que recevaient les travailleurs étrangers en échange de leur travail?Décret du 22 février 1941 sur les sanctions à appliquer dans les GTE (Groupements des Travailleurs Étrangers).Article 2 - Les sanctions à appliquer en cas d´indiscipline ou d´abandon de poste, seront :1- Envoi dans un groupe disciplinaire ;2- Envoi dans un camp d´internement.Fait à Vichy, le 22 Février 1941Philippe PETAIN
Après la
guerre, le 2 novembre 1945
on produit la dissolution des GTE (Groupements de Travailleurs
Étrangers):
Dès la libération du territoire le Gouvernement, considérant que ce régime d´exception était contraire aux principes de la liberté et de la large hospitalité qui ont toujours été dans la tradition française, a eu le souci de replacer sous le régime de droit commun les étrangers qui avaient été ainsi incorporés dans les formations de travailleurs étrangers. Cette opération se poursuit activement.
Toutefois,
il convient de mettre fin d´une manière absolu au régime institué
par l´acte dit loi du 27 Septembre 1940. La présente ordonnance
réalise l'abrogation de cet acte, et de ses textes d´application.
Elle fixe également la date de liquidation définitive des
groupements de travailleurs étrangers.
Le
Gouvernement Provisoire de la République Française.
2. HISTORIA
DE UN REPUBLICANO EXILIADO EN FRANCIA.
Francisco García Barrera (1908-1999). |
Entre estos republicanos
exiliados, obligados al trabajo forzado para el esfuerzo de guerra
alemán, y bajo el totalitarismo de Vichy, recordamos a un
republicano y militante anarquista de nuestra tierra, Francisco
García Barrera, sobre el que recientemente se presentó un libro en
Utrera. Francisco
García Barrera
(1908-1999) nació en Puerto Serrano (Cádiz), aunque muy pronto se
trasladó a Utrera (Sevilla), donde trabajó en un rancho del cortijo
Las Arduas. No pudo asistir a la escuela, pero un maestro cortijero
le enseñaba una vez por semana "las primeras letras y un poco
de cuentas", además de "lo mal que se hacía la justicia
en nuestra tierra". Miembro de la CNT
desde los 18 años, participó en la defensa de Utrera tras el golpe
militar de 1936. Pero Utrera cae pronto, el 26 de julio, bajo el
mando de las tropas golpistas, y algunos utreranos y utreranas,
huyendo de las represalias y fusilamientos, escapan del pueblo y se
esconden por los campos, huyendo la mayoría hacia Málaga, donde
acudían refugiados de las provincias suroccidentales. Tras la caída
de Málaga, continuarían su retirada hacia Almería y otras zonas
bajo el gobierno republicano. Otros fueron capturados y ejecutados
por las tropas sublevadas.
Francisco
García Barrera huyó también a la zona republicana (hacia Ronda) y
terminaría combatiendo como miliciano y teniente del ejército
republicano en varios frentes de Andalucía y Cataluña. En 1939
cruza la frontera francesa junto a decenas de miles de republicanos
para recalar en sucesivos campos
de concentración
(Prats de Molló, Barcarès, Argèles y Bram). El recibimiento
e ingreso de los refugiados en los campos de internamiento franceses
produjo una gran decepción en los exiliados, aunque, a diferencia
del gobierno francés, muchas organizaciones y ciudadanos franceses
mostraron su solidaridad, advirtiendo de las consecuencias para
Europa de la derrota de la democracia española frente al fascismo:
"L'écrasement
de la République espagnole pour le fascisme italo-allemand
équivaudrait à une démission de la France pour la défense de la
Justice et de la Liberté dans le monde" (Comité del Frente
Popular, 1934-1939).
"Dès
la défaite reconnue, le 1er
février 1939, de la République espagnole le chef du Gouvernement
souhaite un engagement de l'Angleterre et de la France pour protéger
les vaincus, demande sans réponse. L'exode qui s'ensuivit dirige
dans les Pyrénées-Orientales environ 400.000 militaires et civiles,
hommes, femmes, enfants et vieillards. La France dépassée par le
flux, bien qu'elle se fut engagée à accueillir les soldats
désarmés, rassemble les réfugiés sur la plage déserte d'Argelés
sous la surveillance de tirailleurs sénégalais. Les
" indésirables " sont ensuite conduits dans les
camps de concentration français, créés à leur attention."
(Fuente: AJPN).
Actividad 3:- ¿En qué campos de internamiento franceses fueron obligados a concentrarse los refugiados españoles que huían de la dictadura franquista? Visita la página de algunos de esos campos y señala las condiciones de vida en las que vivían.- En la actualidad, en nuestro país, los CIES (Centros de Internamiento de Extranjeros) son también centros de aislamiento donde se recluyen a los emigrantes africanos que llegan a nuestras costas, y donde son preparados en muchas ocasiones para su repatriación forzada. Segun Ubaldo Martínez Veiga, este internamiento administrativo apareció en Francia en 1914 durante la guerra de Argelia, y de ahí se han ido difundiendo a distintos países europeos como un sistema de aislar y castigar administrativamente a los extranjeros. Lee el artículo de Ubaldo Martínez y/o mira el vídeo que tienes a continuación y comenta alguno de los testimonios que en él se recogen.
Gracias
a una familia francesa y un contrato de trabajo, Francisco logra
salir de los campos. Muchos españoles comenzaron a ser repatriados,
pero otros permanecieron en Francia por temor a las represalias. Con
la ocupación alemana de Francia, los refugiados españoles se
convirtieron en mano de obra demandada tanto por los franceses de
Vichy como por los alemanes. El 16 de febrero de 1943, el gobierno
francés de Vichy instituye el STO (Servicio
de Trabajo Obligatorio),
recurriendo a mano de obra de los GTE, constituidos en su mayoría
por refugiados españoles.
Francisco es
alistado para trabajar en la
organización alemana TODT,
dedicada a las obras de defensa en la costa francesa atlántica.
Durante la guerra, en esta organización se empleó a un número
considerable de trabajadores extranjeros (1.400.000 en 1944),
esencialmente mediante el trabajo forzado. No obstante, Francisco
huye con un amigo a la comarca de Dun, donde hay un maquis,
al que se incorpora mientras trabaja cortando leña. Otros
testimonios orales confirman cómo "el trabajo obligatorio
impuesto por los alemanes contribuyó a engrosar las filas de los
maquis en los Bajos Pirienso. La organización guerrillera se formó
de hecho con aquellos refugiados que no querían ir a trabajar a
Alemania. Con el transcurso de los meses, estos grupos fueron
estrechando relaciones con la Resistencia francesa y los exiliados
españoles llegaron a representar una importante presencia en su
seno" (2001:656). Muchos grupos guerrilleros tuvieron también
su origen en los GTE existentes, que permitía cierta autonomía y
movilidad, sin romper la conexión con el centro laboral del que
generalmente dependían (el bosque, la mina o las obras públicas);
ejerciendo en ocasiones, como Francisco, de leñador por el día y
guerrillero por la noche. Más tarde, con la derrota de
Alemania, Francisco pudo reunirse con su nueva familia francesa y
permanecer en paz, aunque sin abandonar su lucha y militancia
anarquista.
Otros
republicanos españoles tuvieron distinta suerte:
1/4
des Espagnols réfugiés, ceux qui ne sont pas rentrés en Espagne
avant 1940 et qui restent fidèles à leurs convictions politiques se
voient livrés par les
autorités de Vichy à
la Gestapo.
Ils seront déportés à Mauthausen
(champ d'extermination nazi). Certains ont su entrer dans la Légion
étrangère où ils rejoignent les Forces
Françaises Libres
en 1940 pour former la 9e
compagnie. Beaucoup d'autres se joindront à la Résistance active".
(Fuente: AJPN)
Más de 1.500 andaluces fueron apresados en los campos de concentración nazis durante los años de la II Guerra Mundial. Un millar dejaron allí sus vidas. El documental Memoria de las cenizas. Andaluces en los campos nazis, recupera y honra la memoria de los asesinados en esos campos de exterminio.
Activité 4:- Quelles étaient les motivations des espagnoles pour se battre aux côtés de la France lors de la II Guerre Mondiale?
- Quelles étaient leurs résistances aux restrictions gouvernementales ou aux conditions de vie des camps?
3. EL TRABAJO FORZADO DE LOS REPUBLICANOS BAJO LA DICTADURA DE FRANCO.
También en la España franquista
el gobierno utilizó a los republicanos vencidos como mano de obra
"esclava" para la construcción de algunas
infraestructuras. Así, el Servicio
de Colonias Penitenciarias Militarizadas,
fue creado en Septiembre de 1939, con el fin de utilizar a los
reclusos en obras de utilidad nacional. Uno de sus mayores proyectos,
fue la obra hidráulica del Canal del Bajo Guadalquivir, conocido
popularmente como Canal
de los Presos. Entre
1940 y 1962, gracias al trabajo de los prisioneros de guerra y de
represaliados políticos, numerosos terratenientes sevillanos
transformaron sus latifundios de secano en tierras de regadío y se
construyeron varios poblados de colonización.
Los
reclusos confinados en los distintos campamentos del Bajo
Guadalquivir, procedían de las más diversas regiones de España,
aunque un 61% eran andaluces. Los presos vivían una existencia
desarraigada, lejos de sus habituales lugares de residencia y en
condiciones infrahumanas. Los
presos construyeron el tramo que comprende desde La Rinconada, hasta
Dos Hermanas. El trabajo de los presos
finalizó en la intersección con el canal del Salado, que tiene su
origen en la presa
“Torre del Águila”
(también construida parcialmente por los presos políticos) en el
término municipal de Utrera y junto a la
localidad de El Palmar de Troya (pueblo
creado por los familiares de los presos). No
fue la única obra que se realizó por presos políticos en
Andalucía, pero sí la más significativa, al menos en las comarcas
occidentales.
En
2001, se pudo ver en nuestro Instituto, entre el 19 y el 23 de enero,
una exposición sobre El
canal de los presos (1940-1962),
que constaba de 14 paneles explicativos, un audiovisual de 30
minutos, así como la conferencia que pronunciaron el historiador J.
L. Gutiérrez Molina y el antropólogo Ángel del Río en torno a la
construcción del Canal.
Para saber más:Activité 5:- Connais-tu les origines du barrage de la « Torre del águila » (Tour de l'aigle) ou de la localité de El Palmar de Troya ( La Paume de Troie) ?- Pose la question aux personnes âgées de ta famille.Activité finale : Expression écrite.Classe divisée en 2 groupes, vous lirez vos lettres par deux (le petit-fils et la grand-mère) devant la classe:
Groupe 1 (petits-fils) : Vous vivez dans un camp de concentration et participez quotidiennement aux travaux forcés. Vous écrivez une lettre à votre grand-mère qui a dû rester en Espagne pour lui raconter les conditions dans lesquelles vous vivez. (120 mots).
Groupe 2 (grands-mères): Vous êtes la grand-mère de ce garçon exilé. Suite à sa lettre vous lui répondez et lui racontez ce qui se passe en Espagne sous Franco. (120 mots).
J.
Rubio, La
emigración de la guerra civil 1936-1939, Madrid,
Ed. San Martín, 1977.
G.
Dreyfus-Armand, El
exilio de los republicanos españoles en Francia, Barcelona,
Crítica, 2000.
G.
Dreyfus-Armand et E. Ternime, Les
camps sur la plage,
Autrement, 1995.
Encarna
Nicolás y Carmen González, "Españoles en los Bajos Pirineos",
en Anales
de Historia Contemporánea,
17 (2001), pp. 639-660.
Grégoire
Georges-Picot, L'innocence
et la ruse. Des étrangers dans la Résistance en Provence,
1940-1944,
Ed. Tiresias, 2000.
Max
Aub, Campo
francés, Alfaguara,
1979.
Francisco
García Barrera,
Memorias de un libertario andaluz en la guerra civil española.
Sevilla,
Aconcagua, 2014
J.
L. Gutiérrez Molina y otros, El
Canal de los Presos. Trabajos forzados: de la represión política a
la explotación económica, Barcelona,
Crítica, 2004.
F. Torres, Los esclavos de Franco, Madrid, Oberón, 2000.
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